Imaginons une enfant de presque six ans.
Elle joue pour la première fois cette année dans une ligne de soccer de sa municipalité.
Elle aime son chandail, ses souliers, se rendre aux pratiques.
Mais quand arrive la partie et que le coup de sifflet retentit... rien. Il ne se passe rien. Elle ne bouge pas.
Ça s'est passé la semaine dernière, puis cette semaine aussi.
En marchant pour retourner à la voiture, on parle de la pratique, de la partie. Je lui dis : «As-tu vu comme tous les enfants couraient ? Ton amie L., elle voulait attraper le ballon.»
Et cette fille (vous aurez deviné que je parle de ma fille!) de répondre :
- Oui mais L. elle sait comment faire, moi, je ne sais pas comment faire pour jouer au soccer.
C'est ça, la dyspraxie.
C'est tellement un bon exemple. Triste, vrai et percutant.
RépondreEffacerHeureusement, avec beaucoup de pratique et de travail, nos enfants réussir à passer par dessus les "comments", mais à quel prix?
Heureusement, ma fille veut encore y aller la semaine prochaine. Elle aime l'ambiance, les petits exercices avec le ballon du début, son amie L. qui est dans l'équipe.
RépondreEffacerMais j'ai été soufflée par l'exactitude de sa réponse. Ma fille n'est pas pleine de pouces, maladroite... c'est qu'elle a besoin de beaucoup de répétition avant de maîtriser une notion ou un concept moteur.
bonjour j'aimerai partager ce que vit au quotidien. Mon fils charlie est âgée de 9 ans il est diagnostiqué dysphasie et dyspraxie . il a commencé a joué au soccer a l'age de cinq au début il ne suivait même pas le jeu. A chaque année nous l'avons inscrit et l'avons poussé aller plus loin même avec les difficulté qu 'il avait.Pour charlie le défi fut énorme mais il peut être fière de lui car je le suis moi fière pour lui, charlie va commencer le soccer inter-city
RépondreEffaceron nous a annoncé il y a 4 jours que notre fils de 7 ans était dyspraxique. on est dans l'attente que le médecin pose un diagnostic écrit pour pouvoir mettre en place une aide à l'école. c'est dur d'entendre ça mais ca fait du bien: mon fils n'est pas un fénéant, un maladroit ... il est dyspraxique
RépondreEffacerBonjour Estelle,
RépondreEffacerje suis d'accord avec toi. Savoir, c'est déjà mieux, On peut aider, adapter...
J'espère que tu reviendras souvent nous lire sur le blogue !